Adélaïde Feriot

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Adelaide-Feriot-Desombresetdeslumières.jpg

Performées__S.Nadler (82).JPG

Aux doigts de rose II, 2021.
Capture d’une aurore Australe.
Pièce pour 1 personne de 170 cm.
Velours, coton, pigments, plomb, partition.
Interprétation : Ange.
Centre Pompidou Paris.

Nuit noire, ciel à 360°.
Les sons qui sortaient de sa bouche ne revenaient pas à ses oreilles.
Absence de matière pour les renvoyer.
Le sang et l’eau circulaient dans son corps en silence.
Le ton pourpre que le frappement de ses mains causait, rappelait la couleur du jour naissant.
Les doigts de rose de l’aurore.

©Photo : Gerald Petit

Aux doigts de rose II, 2021.
Capture d’une aurore Australe.
Pièce pour 1 personne de 170 cm.
Velours, coton, pigments, plomb, partition.
Centre Pompidou Paris.

Nuit noire, ciel à 360°.
Les sons qui sortaient de sa bouche ne revenaient pas à ses oreilles.
Absence de matière pour les renvoyer.
Le sang et l’eau circulaient dans son corps en silence.
Le ton pourpre que le frappement de ses mains causait, rappelait la couleur du jour naissant.
Les doigts de rose de l’aurore.

©Photo : Gerald Petit

Aux doigts de rose I, 2021.
Capture d’une aurore Boréale.
Pièce pour 1 personne de 170 cm.
Velours, coton, pigments, plomb, partition.
Interprétation : Mathilde.
Centre Pompidou Paris.

Nuit noire, ciel à 360°.
Les sons qui sortaient de sa bouche ne revenaient pas à ses oreilles.
Absence de matière pour les renvoyer.
Le sang et l’eau circulaient dans son corps en silence.
Le ton pourpre que le frappement de ses mains causait, rappelait la couleur du jour naissant.
Les doigts de rose de l’aurore.

©Photo : Gerald Petit

Aux doigts de rose I&II, 2021.
Velours, coton, pigments, plomb, partition.
Centre Pompidou Paris.

Nuit noire, ciel à 360°.
Les sons qui sortaient de sa bouche ne revenaient pas à ses oreilles.
Absence de matière pour les renvoyer.
Le sang et l’eau circulaient dans son corps en silence.
Le ton pourpre que le frappement de ses mains causait, rappelait la couleur du jour naissant.
Les doigts de rose de l’aurore.

©Photo : Gerald Petit

Aux doigts de rose I, 2021.
Capture d’une aurore Boréale.
Pièce pour 1 personne de 170 cm.
Velours, coton, pigments, plomb, partition.
Centre Pompidou Paris.

Nuit noire, ciel à 360°.
Les sons qui sortaient de sa bouche ne revenaient pas à ses oreilles.
Absence de matière pour les renvoyer.
Le sang et l’eau circulaient dans son corps en silence.
Le ton pourpre que le frappement de ses mains causait, rappelait la couleur du jour naissant.
Les doigts de rose de l’aurore.

©Photo : Gerald Petit

Insulaire (avant l’orage), 2016-2020.
Piece for 1 person 170cm tall.
Velvet, cotton.
520x520cm.
With the help of Julia Richert Lebon.
Célia Marthe - IAC Villeurbanne.

Inspired by the scientific diagrams of the visual field, Insulaire is displayed as a drawing on the floor. It captures the colour of a stormy sky, translated into velvet sections which create shiny and unpredictable effects as we gradually skirt it. If we stand in the middle, we could open our mind to this sketch horizon.
Insulaire is also wear as a cape by a still female performer, as she brings the sky on her shoulders.

©Thomas Lannes

Insulaire (avant l’orage), 2016-2020.
Piece for 1 person 170cm tall.
Velvet, cotton.
520x520cm.
With the help of Julia Richert Lebon.
Célia Marthe - IAC Villeurbanne.

Inspired by the scientific diagrams of the visual field, Insulaire is displayed as a drawing on the floor. It captures the colour of a stormy sky, translated into velvet sections which create shiny and unpredictable effects as we gradually skirt it. If we stand in the middle, we could open our mind to this sketch horizon.
Insulaire is also wear as a cape by a still female performer, as she brings the sky on her shoulders.

©Thomas Lannes

untitled image

Insulaire (avant l’orage), 2016-2020.
Piece for 1 person 170cm tall.
Velvet, cotton.
520x520cm.
With the help of Julia Richert Lebon.
IAC Villeurbanne.

Inspired by the scientific diagrams of the visual field, Insulaire is displayed as a drawing on the floor. It captures the colour of a stormy sky, translated into velvet sections which create shiny and unpredictable effects as we gradually skirt it. If we stand in the middle, we could open our mind to this sketch horizon.
Insulaire is also wear as a cape by a still female performer, as she brings the sky on her shoulders.

©Thomas Lannes

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